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| NCS - Insérez le titre badass ici | |
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Messages : 18 Gallions : 11 Noah C. Smith I'M SO NISSENA | Sujet: NCS - Insérez le titre badass ici Jeu 25 Avr - 20:57 | |
| Noah Charles Smith Dossier de Malwen Ҩ Maison : Nissena Ҩ Filière/Diplôme demandée : MCA Créaturologie option Élevage Ҩ Année d'étude : 3eme année de MCA Ҩ Âge & Date de Naissance : 24 ans, 21 juin 1996 Ҩ Dans quelle école de sorcellerie étiez-vous ? Noah était dans l'école de sorcellerie de Beauxbâtons, en France. Car Noah est bel et bien Français malgré son nom anglais: l'explication est simple: mère anglaise, père français. Il a toujours vécu en France. Et voilà. (YES I AM BILINGUE ) Inventaire du Sorcier Ҩ Baguette Magique : Baguette de Cornouiller, 31,2 cm, plume d'hippogriffe, très souple. Ҩ Animal de compagnie : Un petit cochon nain répondant au nom de Bacon (Noah avait pas d'idée et ses camarades avaient insisté. C'était soit ça, soit Boudin) Ҩ Balai : Un Flèche d'Argent, assez vieux modèle mais en bon état. Questions Magiques Ҩ Patronus : Un hippogriffe. Encore quelque chose qui ne passe pas vraiment inaperçu, même si ça ne l'empêche pas de l'aimer. Ҩ Parfum de l’Amortentia : Noah sent une odeur de feu de bois, de fraise des bois, de rose et comment dire... de liberté, chose impossible à décrire. Ҩ Miroir du Risèd : Il y voit sa vie telle qu'elle est maintenant. Chose étrange car Noah n'arrête pas de clamer qu'il voudrait revenir à une vie normale. Il se voit également de dragons, d'hippogriffe et de toutes sortes de créatures mythologiques. Descriptions Ҩ Description physique :La nature t'as décidément bien gâté. Certes, à la base tu es le type caucasien normal : cheveux bruns, yeux bruns, taille normale. Et de loin, tu pourrais même faire normal. Malheureusement, tu es loin d'être normal. Pourtant tu aimerais tellement ! Tu n'es certes pas la beauté réincarnée et tu es loin de l'être mais tu es réellement un bel homme. Ton visage est bien taillé, quoiqu'aux traits plutôt doux, mais sans pour autant être féminin. On lit sur ton visage comme dans un livre ouvert, ta personne étant incapable de cacher tes sentiments. Tu as un grain de beauté juste en dessous de l’œil droit. Ton adolescence est passée depuis bien longtemps, et les horripilants désagréments qui allaient avec également (ici l’acné et la peau grasse), pour ton plus grand plaisir. Tu ne veux d'ailleurs pas l'avouer mais tu prends soin de ton corps, ne voulant pas que celui-ci retombe dans le même état de décrépitude que durant ton adolescence plutôt difficile, il fallait bien l'avouer. C'est d'ailleurs pour cela que ton corps est plutôt musclé, ta personne l'entretenant chaque jours par une série d'abdominaux, pompes et tout le tralala suivi d'un petit footing matinal. Même si tu détestes courir. Tu es d'ailleurs grand aussi, atteignant le mètre quatre vingt huit, tu dépasses quantité de populace. Tu n'es pas non plus concentré sur ta personne, préférant largement les vêtements confortables et à ton goût que ceux à la mode. On te retrouvera donc beaucoup en jean et en basket, et si quelqu'un tente de te faire porter un uniforme comme ceux qu'il avait vu à Poudlard, tu t'occupes personnellement de son cas (parce qu'à Aurore, il y avait certes des Uniformes, mais ils conservaient une certaine classe). Il y a une particularité chez toi, une chose que tu détestes. C'est ton plus grand complexe. En plus, l'emplacement de celui-ci n'est pas vraiment disons, habituel : les fesses. Oui les fesses, le popotin, le derrière, le bas du dos, les reins, les stockeurs à caca... Appelez les comme vous le souhaitez, ça reste des fesses. Et c'est là dessus qu'est l'horrible complexe de Noah. Ce n'est pas vraiment horrible, certains trouveront même ça cool. On trouve, sur le popotin de Noah donc, une croix. Genre croix de Jésus oui. Mais à l'envers. Genre croix sataniste. Le principal problème résidant dans le fait que Noah est athée et qu'il a longtemps été harcelé à cause de ça. ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ Ҩ Caractère et psychologie :Tu es une personne parfaitement saine d'esprit, même si ton mental a été mis à rude épreuve avec la découverte de ton pouvoir. Enfin bon, c'est passé. Tu es équilibré donc. Tu n'es en aucun cas un psychopathe, un sociopathe ou un schizophrène. Bon, peut-être es-tu légèrement paranoïaque, mais ça c'est à cause de l'abus de séries policière dans ta jeunesse. Tu es totalement dépourvu de mémoire. Pas toutes les mémoires, tu as des souvenirs, mais tu ne te souviens jamais des noms, sauf les noms des personnes qui te sont proches ou, au contraire, que tu détestes. Ce n'est pas ta faute contrairement à ce que certains pensent, mais tu as juste du mal à mettre un nom sur un visage ou à mettre un visage sur un nom. Il est possible que tu demandes à quelqu'un avec qui tu es en pleine conversation qui il est, non pas que tu viens tout juste d'oublier, mais tu étais juste trop gêné pour demander. Tu ne te souviendras d'eux que s'ils ont fait quelque chose de marquant à tes yeux. De même, il se peut que tu leur ais fait un jour fait quelque chose de marquant et que lorsqu'ils viennent s'expliquer avec toi, tu ne te souviens ni d'eux, ni de ce que tu as fais, ta personne devant faire un gros effort afin de te souvenir de ton acte et de la personne. Tu as tendance à blesser les gens sans t'en apercevoir, ta propre personne étant trop flemmarde pour chercher à mentir. Tu t'es donc fait une réputation de personne franche même si, quand tu le dois, tu n'hésites pas à mentir ou à cacher la vérité. Tu es également d'une nature véritablement bordélique, détestant ranger et laver, entre autres choses. Tu es horriblement rancunier et si une personne fait un acte vraiment horrible à tes yeux, tu te souviendras d'elle et elle devra vraiment faire un acte brillant pour se racheter. Tu gueules aussi beaucoup, même si tu ne t'en aperçois pas vraiment, tu es bruyant. De plus, ta voix est plutôt grave ce qui fait qu'on t'entends facilement. Tu es également un vrai cordon-bleu même si tu ne l'avoueras jamais : tu aimes cuisiner, que ce soit salé ou sucré et rares sont les plats qui te résistent. Ta spécialité est la pâtisserie et tout particulièrement les gâteaux. Peu de personnes le savent mais ces mêmes personnes sont généralement heureuse de goûter à ta cuisine. Et par dessus tout, tu ressens un besoin de normalité : tu n'arrêtes pas de clamer à qui veut l'entendre que tu souhaiterais être normal, être un moldu, comme tes parents. Mais si jamais on te proposais de réintégrer une vie moldue, jamais tu n'accepterais, même si jamais tu ne te l'avoueras. À chaque fois qu'il y a une chose trop difficile pour toi en magie, tu marmonnes que décidément, tu aimerais vraiment être moldu, même si tu persévère car tu es amer dans l'échec. ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ ═ Ҩ Aptitude particulière :Outre le fait d'oublier toutes les personnes qui l'entourent (même les professeurs, oui oui) et de n'être absolument pas normal alors que c'est tout ce qu'il souhaiterait être (enfin, je sais pas si c'est très positif m'enfin...) Noah est très apprécié des animaux, et tout particulièrement ceux mythologiques (dragons, hippogriffes, pégases, licornes etc...). Toi. Oui, toi ! Ҩ Pseudo/âge : Solweigh/Aed/Gwinet/Clyde. Entre autres. Ҩ Double-compte ? Niet Ҩ Avis/remarque : Des smileys pedobear? J'adhère! Ҩ Comment as-tu découvert le forum ? Darian m'a stalké wesh
Dernière édition par Noah C. Smith le Sam 27 Avr - 19:09, édité 4 fois |
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Messages : 18 Gallions : 11 Noah C. Smith I'M SO NISSENA | Sujet: Re: NCS - Insérez le titre badass ici Ven 26 Avr - 15:57 | |
| Histoire & Anecdotes I – Rencontre avec JonathanTu avais une vie plutôt normale, malgré les fait que tes parents soient plutôt sévères et stricts. Ils n'acceptaient en aucun cas l'imagination, chose qui débordais chez toi. Ils étaient tous deux scientifiques et pour eux, toutes les choses abstraites était absurdes. Tu avais des amis, beaucoup d'amis même. Pourtant, tu as eu un ami imaginaire. Ce que tu ne savais pas, c'est qu'il n'était pas un ami imaginaire. Jonathan était en réalité un fantôme. Tu l'avais rencontré alors que tu attendais ta mère à l'école, qui, encore une fois était en retard, quand tous tes camarades étaient partis.
- Spoiler:
Tu attends, dans une salle de classe quand tu entends des pleurs venir de la cours. Étonné, tu sors et le voit, assis sur une balançoire. Tu t'approches et lui demandes «Pourquoi tu pleures ?» Il tournes la tête vers toi. Il a l'air étonné et essuie ses larmes. « Tu me vois ?». Tu restes perplexe face à cette question. « Bah oui ! » Il paraît heureux et se lève, se rapprochant de toi. « Moi c'est Jonathan ! ». Tu lui souris « Et moi Noah ! ». C'était la gentillesse enfantine, cette capacité qu'avaient les enfants de facilement se lier, de devenir amis sur une simple demande. On entre dans la cours. Une voix féminine résonne « Noah ! ». Tu tournes la tête. Tu lui souris et te précipites dans ses bras. Tu veux lui présenter ton nouvel ami mais quand tu tournes la tête, il n'est plus là. Tu ouvres la bouche puis la referme. Tu es étonné mais ne dis rien. Tu connais ta mère, même à cet âge là. Vous repartez en voiture. Ce soir là, tu vas te coucher sans comprendre se qu'il s'était passé.
Depuis ce jour là, Jonathan te rendait régulièrement visite, que ce soit pour discuter, pour jouer ou juste pour être avec toi. Personne d'autre ne le voyait, tu as donc déduit qu'il était une sorte d'ami imaginaire : il ne l'a jamais nié. Il t'as accompagné durant toute ta croissance et tu remarquais chez lui une chose bizarre : il ne grandissait jamais, son corps comme coincé à ses cinq ans. Pourtant, tu découvrais chaque jours qu'il avait un esprit particulièrement élevé et aiguisé, même s'il refusait toujours de te donner les réponses aux contrôles, pour ton plus grand malheur. Ton imagination sans cesse réduite en poussière par tes parents, tu ne pouvais en aucun cas comprendre ce qu'il était. Tu n'as jamais pu comprendre qu'il n'était pas juste le fruit de ton imaginaire. Et un jour tu as découvert ce qu'il était, et cela uniquement à cause du hasard. Tu as été horriblement choqué. Et puis Jonathan était parti. Pendant plus d'un an tu ne l'as pas vu. Tu ne savais pas ce qu'il était devenu. Etait-il allé dans "l'autre monde"? Avait-il fuit? S'était-il trouvé un nouvel ami? Tu ne le savais pas. Pourtant, il réapparut 365 jours après. Il avait désormais ton âge. Tu n'as jamais cherché à savoir ce qu'il avait fait.
- Spoiler:
Tu as dix ans. Cela fait maintenant cinq ans que tu connais Jonathan. Tu es sur l'ordinateur quand tu tombes sur un site internet. Celui-ci rendait hommage aux enfants morts d'un cancer.« Noah, ne va pas sur ce site ! » te dis Jonathan. Tu ne comprends pas pourquoi il ne veut pas. Tu es rempli de cette fascination morbide, celle qui te pousses à regarder. C'est malsain, tu le sais. Mais tu te dis que tu veux rendre hommage à ces enfants morts trop tôt. Et là tu le vois. Tu restes figé. Tu n'y crois pas. Tes yeux doivent te tromper. « Jonathan ? Ce... ça ne peut pas être toi hein ? Tu... tu n'es pas...mort ? ». Tu te tournes vers lui. Il ne te regarde pas, son regards te fuit. « Jonathan ! Réponds moi ! ». Ta voix est faible, presque éteinte. Tu regardes de nouveau l'écran. Il était écrit qu'il était mort il y a de cela vingt ans à l'âge de cinq ans. Tu fais un calcul rapide. Il devait avoir vingt-cinq désormais ? Tu le dévisages. Tu as les larmes aux yeux. « Dis moi que c'est pas vrai ! ». Il finit par te regarder. « Je suis désolé de t'avoir menti Noah... Je suis un fantôme ». Après avoir dit cela, il disparut. Tu hurles son nom. Ta mère déboules. « Noah ! Qu'est-ce qu'il se passe ?! ». Tu es bouleversé mais tu sais qu'elle ne te croira pas. Tu ne dis rien, t'excusant pour le bruit. Elle te regarde un instant, soucieuse, puis repart. Plusieurs jours passent, ton meilleur ami ne réapparaît pas. Il te manque. Un an plus tard, assis sur ton lit, tu murmures son nom, comme tu l'as déjà fait plusieurs centaines de fois. Et cette fois-ci, il apparaît. Mais il n'a plus cinq ans. Il a désormais ton âge. Tu ne comprends pas. Il se contente de te sourire. « Désolé d'être parti... Je suis là maintenant ! ». Tu ne demandes pas d'explications, trop heureux de le retrouver. Ton ami était avec toi maintenant... II- Découverte de la magieOn t'avait toujours obligé à ne croire qu'aux choses réelles. Tu devais refuser de croire aux choses abstraites. Tu y avais cru jusqu'à tes dix ans, quand tu avais découvert la véritable nature de ton ami. À partir de ce moment là, tu avais commencé à accepter le fait que éventuellement, des choses surnaturelles pourraient exister. Et d'ailleurs, cela s'était confirmé quand elle était venue chez toi. Car pour les élèves d'origine moldue, ce n'était pas une lettre qui était envoyée: c'était la directrice elle-même. Olympe Maxime, la femme géante. Plus grande encore que ton père, elle devait se pencher pour passer en dessous de la porte. - Spoiler:
Vous êtes tous les trois assis dans ton salon. Tes parents ont l'air énervés de la présence de la femme ici. Pourtant, elle n'a encore rien dit. Tes parents n'aimaient pas tout ce qui sortait de l'ordinaire. Peut-être était-ce pour cela que tu clames maintenant ne pas aimer la vie de sorcier? Quoiqu'il en soit, vous buviez tous les trois un thé en silence quand ta mère prit la parole. « Pouvez vous nous expliquer, madame Maxime, ce que vous faites chez nous? » La dame prend un air calme et pose sa tasse de thé quand elle tourne la tête vers toi. Ce fut à ce moment que choisi Jonathan pour apparaître. Il pose sa main sur ton épaule. La femme sourit. Tu ne comprends pas. Est-ce possible qu'elle l'ai vu? Mais personne ne l'avait jamais vu! Mais il semble qu'elle le regarde dans les yeux... Était-ce seulement possible? Apparemment oui. Ton ami resserre sa main, comme un avertissement, autant à ton égard qu'à celui de la femme. Mais elle détourne rapidement le regard et explique la situation à ta famille. Tu n'es pas un humain. Tu es un sorcier. Le regard de ta mère devient dur. Elle repose sa tasse. « Jamais mon fils n'ira dans cette école. Je n'ai pas perdu mon frère à cause de gens comme vous pour perdre mon fils. ». Tu tournes la tête vers elle. De quoi voulait-elle parler? Mais elle enchaîne « Vous autres, vous n'êtes que des monstres! Noah n'est pas comme vous! Noah n'est pas un monstre! ». Tu la regardes, ton père aussi. Elle venait de se lever. Ton père la prend par la manche pour qu'elle se rassoit. « Hannah... Assis-toi s'il te plaît. ». Elle a les larmes aux yeux. Tu ne comprends pas ce qu'elle dit. Tu avais un oncle? Et puis, tu n'avais pas compris cette histoire de magie. Tu étais un sorcier? Et cette femme aussi?
III- BeauxbâtonsTes sentiments à l'égard de l'école dans laquelle tes parents avaient fini par accepter de t'envoyer étaient divergents. Au départ, Jonathan ne devait pas venir. Tu avais marchandé longuement avant que la directrice n'accepte qu'il t'accompagne. Tes parents n'avaient pas compris et ils avaient été horrifiés d'apprendre que durant six années, leur fils avait comme meilleur ami un fantôme. Mais tu y étais, malgré la tristesse de ta mère. Car tu avais appris que si elle était stricte et essayait de réduire ton imagination au maximum, c'était car elle espérait que tu ne serais pas comme son frère. Un sorcier. Tu avais appris par la suite que ton oncle, Edward Smith, avait été tué par un dragon qu'il élevait. - Spoiler:
C'est ta première journée à Beauxbâtons. Tu parles avec un garçon plutôt sympa mais tu ne te souviens déjà plus de son nom. Tu n'oses pas lui demander, de peur qu'il le prenne mal. Et puis tout à coup, vous remarquez la majorité écrasante de fille dans cette école. Vous échangez un regard légèrement affolé. Un garçon arrive. Il a la quinzaine. Il vous sourit et voit vos regards effrayé. Il vous dit, sur le ton de la confidence: « Au départ, ça effraie un peu. Mais après, je peux vous assurer qu'être entouré de filles, ça a du bon! ». Vous ne comprenez pas sur le coup. Et puis une femme arrive, plus vieille et plus grande que les autres. Elle te voit et te souris. « Alors, tout va bien pour ton premier jour de cours Noah? ». Tu ne la reconnais pas, même si sa tête te dit quelque chose. « Vous êtes qui? » te contentes-tu de répondre. Elle paraît vexée mais c'est le garçon avec qui tu parlais qui te réponds. « Mais c'est la directrice! Mme Maxime! C'est une sorcière reconnue! ». Tu la dévisages un moment. Ah oui, ce nom te disais quelque chose. La femme se contenta de sourire et de faire demi-tour, un sourire restant sur son visage.
Une des principales choses que tu détestais à Beauxbâtons, c'était les uniformes. Pas les uniformes des filles, non (on pouvait voir leurs culottes avec, ça c'était bien)! C'était ton uniforme à toi que tu n'aimais pas. Certes, tu t'y étais habitué aux fils des années mais cela restait tout de même assez gênant pour toi. Tu n'étais pas l'élève le plus studieux (de loin d'ailleurs) mais il y avait une matière où tu surpassais tout le monde: le soin aux créatures magiques. D'ailleurs, les créatures, même les plus timides t'appréciaient énormément, ce qui laissait le professeur et les autres élèves pantois. - Spoiler:
C'était la première fois que tu approchais une licorne. Ce sont des créatures très timides et il est difficile pour les humain d'en approcher. Pourtant, la professeure avait réussi à en capturer une, pour ce cours. Tu étais arrivé en retard en cours. Quand tu es arrivé, la licorne se recroquevillait dans un coin de son enclos, sa corne devenue molle à cause de la peur que lui inspiraient les jeunes gens qui, même s'ils suivaient les ordres de la professeure et restaient silencieux, restaient effrayants à ses yeux. Et tu es arrivé, de façon très peu discrète et plutôt bruyante. Tes camarades te fusillèrent du regard, s'attendant à se qu'elle se referme encore plus. Mais contrairement à ce que tout le monde pensait, la licorne ne se referma pas. Sa corne se redressa et elle se détendit légèrement. On ne comprit pas immédiatement. Toi, tu ne pouvais détacher des yeux de la créature. Tu la trouvais magnifique. Au plus grand étonnement de tous, elle s'approcha. La professeure, mue par un instinct, ordonna aux élèves de reculer. Tous, sauf toi. Étonné, tu obéis. La licorne s'approche et rapidement elle est à côté de toi. C'était d'ailleurs étrange car généralement, les licornes préfèrent la délicatesse féminine. Pourtant, c'était bel et bien de toi qu'elle s'approchait. Tu tendis ta main vers elle. Elle y posa sa joue. Mu par une sorte d'instinct, tu t'approchas. Elle se laissa faire. Tous tes camarades étaient silencieux et la professeure sur ses gardes. Elle pouvait à tout moment te transpercer avec sa corne. Et tu lui monta sur le dos. Tout le monde était ébahi. Mais tu n'eus pas le temps de faire grand chose car elle partit en courant.
Tes années sont donc passées là bas. Chaque jour tu naissais en maudissant ta magie, cette magie qui t'habitait. Tu n'hésitais jamais à la maudire, que ce soit pour une raison légitime ou pour un simple caprice qui ne pouvait être réalisé. Dans cet endroit bondé de "sang-purs", de nombreuses personnes te regardaient avec un œil méprisant. Tu étais un sang-de-bourbe, fils de moldus. Tu ne devais pas être là, tu étais impur, tu leur était inférieur. Tu ne l'as jamais vu comme cela. Tu filais une raclée à tous ceux qui te disaient ça, ce qui t'entraînait de nombreuses rencontres avec Mme Maxime et, à son plus grand désarroi, tu oubliais toujours son nom. Tu essayais toujours de rester calme quand on te murmurais des méchancetés et tu avais le soutien de tes amis, mais régulièrement tu pétais un câble. Que ce soit par la magie, les mots ou par les poings, tu réglais leur compte à ces prétentieux qui osaient t'insulter, toi et ta famille. Jamais tu ne baissais l'échine face à eux. Jamais tu ne t'abaissais. Parfois, tu avais l'impression que c'est ce qu'ils voulaient. Se faire mettre une raclée. Le pire, c'était quand c'était des filles. Tu n'hésitais pas à leur donner une leçon et tu passais pour le pire. Pourtant, ce n'était pas toi qui insultais. Tu ne faisais que te défendre. - Spoiler:
« Oh, le Sang de Bourbe. » . Cette insulte résonne à tes oreilles une énième fois. Tu as treize ans. Mais tu n'en peux déjà plus. C'est la cinquième fois aujourd'hui. Toujours la même personne. Cette blondinette qui se croyait au dessus des autres parce que ses parents étaient une vieille famille de sorciers. Elle se permettait de te rabattre depuis deux ans déjà. Jamais ça ne lui avait suffi. Tu avais toujours été arrêté avant. Mais pas cette fois. Tu es grand pour ton âge. Tu la plaques contre le mur, avant que tes amis ou les siens n'aient pu réagir. Elle paraît surprise les premières secondes mais se ressaisit, gardant un sourire. « Un problème peut-être? Sang de Bourbe. ». Elle avait susurré les trois derniers mots à ton oreille. Tu n'en peux plus. Tu la frappes. Un coup de poing dans la joue. Tu n'es pas du genre bagarreur mais là, tu n'en peux plus. Elle tombe par terre. Elle a l'air surprise que tu l'ai vraiment fait. Elle te regarde un air féroce sur le visage. « Tu me le paieras sale Sang de Bourbe. » . Tu sors ta baguette avec cette fois-ci un léger sourire moqueur. « Tu te répètes ma chère. Mais que de vilains mots dans cette bouche. Tu veux peut-être que je t'aide à les faire sortir? ». Tes amis et les siens ne bougent pas, comme pétrifiés. « Crache Limace. », tu murmures. Elle se met à dégobiller. Elle regarde les choses sorties de sa bouche avec dégoût. Et elle hurle. Ses amies n'osent pas s'approcher. Un adulte arrive. Le concierge. Il regarde la jeune fille. Il te regarde, toi et ta baguette. Il comprend tout de suite. Il comprend que tu lui as jeté un sort. Il désigne deux amies de la jeune fille et leur ordonna de l'emmener à l'infirmerie. Il te regarde ensuite. « Toi, tu viens avec moi. Tu ne vas pas te débrouiller comme ça. ». Tu le suis docilement. Tu te fiches de ce qu'il va te faire. Pour l'instant, cette fille avait eu sa leçon. Si elle recommençait à t'insulter, elle aurait bien pire qu'un coup et un sort inoffensif.
Malheureusement, cela te valait de nombreuses punitions et de rencontres chez la directrice alors que ces types n'avaient rien. Les parents faisaient toujours pression. Pour cette raison, tu les méprisais encore plus. Ils ne pouvaient pas se débrouiller seuls, il fallait compter sur papa et maman. Jonathan te proposais régulièrement de les effrayer, mais tu refusais. Tu ne voulais pas compter sur quelqu'un d'autres pour qu'ils arrêtent. Le problème était que tu n'étais pas le meilleur en cours et même si tu étais loin d'être le dernier ou le cancre, ces personnes en profitaient pour te rabaisser encore plus. Mais généralement tu leur foutais la pâté aux cours de soin des créatures magiques. C'était déjà ça. - Spoiler:
Tu étais devenu un véritable habitué du bureau de Mme Maxime. Aujourd'hui, comme à chaque fois, elle te regarde d'un air dépité. Tu as quinze ans. « C'est la deuxième fois de la semaine que tu es dans mon bureau Noah. Qu'est-ce que tu as fais cette fois? » . Tu te redresse et te lèves, frappant tes mains contre son bureau en chêne massif. « Ce n'était pas ma faute! Ils m'avaient traité de Sang de Bourbe! Et ils avaient essayé de me jeter un sort! Pourquoi c'est moi qui prends toujours pour eux?! Ils ne sont punis qu'une fois sur dix! ». Elle te regardes sans dire un mot, buvant son thé dans sa tasse en porcelaine. Vous restez un moment tous les deux dans cette position, toi debout, elle assise, vous regardant dans les yeux. Tu finis par te rasseoir, vaincu. Elle pose sa tasse. « Je le sais très bien. C'est bien pour cela que tu n'es pas encore renvoyé. » Tu gardes un air dubitatif. « Alors pourquoi vous ne faites rien?! ». Elle a un air gêné. «[color:a4a3=963147] Leurs parents sont puissants. Si nous les punissons, ils se plaindront et cela portera atteinte à l'école et à son honneur. De plus, il n'y a que toi qui les frappe. Eux se laisse faire et quand ils sortent la baguette ou te frappent, ils plaident la légitime défense. ». Tu es dégoûté. « Vous êtes sérieuses? Je prends tout juste pour l'honneur de cette école? Mais c'est n'importe quoi!». Après cela, tu partis, furieux. Mais après ton entrevue avec la directrice, tu fus moins puni, et ces personnes un peu plus.
Mais malgré cela et ces descriptions, tu passais beaucoup plus de temps à t'amuser qu'à te faire persécuter. Tu étais apprécié de beaucoup de personnes car tu avais un caractère facile à vivre. Tu n'étais pas disons, populaire, mais tu avais de nombreux amis, de nombreuses connaissances et même quelques petites amies. - Spoiler:
Tu as quatorze ans. Tu es avec tes amis dans ta salle commune. Il est tard, vous êtes les seuls présents dans la salle. Il y a Antigone, Eloi, Aaron et Gabrielle. Vous discutez, parlant du dernier cours en date. L'ambiance est plutôt bonne mais tu as l'impression que tout le monde te cache quelque chose. Tu as l'impression qu'ils échangent des regards complices, qu'ils savent quelque chose que tu ignores. Mais tu n'es pas curieux et même si ça te frustre d'être mis à l'écart, tu ne cherches pas à savoir. Et quelqu'un entre dans la salle. Tu n'y prêtes pas vraiment attention, jusqu'au moment où tu t'aperçoit que tes amis, eux, le suivent du regard. Mais le nouvel arrivant est dos à toi, tu ne peux pas le voir. Et puis Antigone se lève, prétextant aller aux toilettes. Gabrielle l'accompagne. Tu n'as jamais compris pourquoi les filles ressentaient le besoin de s'accompagner aux toilettes. Tu ne soupçonnes rien jusque là. Mais quand Eloi et Aaron partent sous prétexte qu'ils doivent se donner quelque chose. Ils ne te laissaient jamais seul. La faute au nouvel arrivant? Tu te tournes. À la nouvelle arrivante plutôt. Elle est plutôt mignonne. Son visage te dis quelque chose. Tu essaies de te souvenir qui elle est. Tes amis la fuient-elle? Tu cherches à te souvenir qui elle est. Il te semble qu'elle est dans ta classe. Tu te souviens d'un moment où elle s'est cognée contre toi, dans un couloir. Elle était rouge et était partie en courant. À l'époque, tu t'étais demandé si elle te détestait. C'était il y a six mois. « Tu as quelque chose à me dire? ». Elle rougit et s'approche, s'asseyant à l'endroit où Gabrielle était assise quelques minutes plus tôt. Tu supposes qu'elle veut te dire à quel point elle ne t'aime pas. Tu avais l'impression qu'elle te fuyait, les jours où tu voulais t'excuser, car elle était tombée et avait sali son uniforme. Tu en avais donc déduit qu'elle te détestait. Elle baisse la tête. «Je... je m'appelle Lily. Tu ne me connais sûrement pas et ma tête ne te dis sûrement rien mais...». Elle s'arrête et rougit. Elle prend une grande inspiration et lève la tête vers lui, plantant ses yeux dans les tiens. Tu as juste le temps qu'elle ne va peut-être pas te déclarer la guerre quand elle débite d'une traite, très, mais vraiment très rapidement: «Je suis dans ta classe depuis qu'on est entrés à Beauxbâtons. Je t'ai toujours vu quand tu comment tu te battais contre ceux qui t'insultaient, qui te traitaient de... de S-sang de Bourbe.». Elle balbutie un peu sur le dernier mot. Ça te fais plaisir mais tu ne dis rien. Tu ne comprends pas ce qu'elle veut te dire. Tu n'es pas bien perspicace sur le coup. « Et bien... je t'ai toujours admiré et....hum...je...je t'aime. ». Sur le coup, tu restes figé. Tu ne t'attendais vraiment pas à ça. Elle était vraiment mignonne et toi tu n'avais rien de spécial. Tu te sens rougir, d'un coup. Tu regardes le sol. Tu ne sais pas vraiment quoi lui dire. Tu étudias tes sentiments. Tu ne lui avais jamais parlé et tu ne connaissais pas son nom jusqu'à aujourd'hui. Mis à part cela elle était vraiment mignonne et semblait gentille. Et si tes amis étaient allé jusqu'à accepter de partir pour qu'elle puisse être seule avec toi pour te déclarer ses sentiments, c'est qu'elle devait être vraiment sympa. Et puis tu n'avais pas le cœur de refuser. Mais tu voulais être honnête avec elle. « Je voudrais que tu saches que je suis loin d'être parfait. Je suis rancunier, bordélique et feignant. J'oublie facilement les noms des gens. Je me plains souvent à cause de la magie. ». Tu laisses un temps de silence pour qu'elle comprenne bien le sens de tes paroles. Elle t'adresse un regard un peu interloqué mais qui t'invitais à continuer.« Mais si ça ne te dérange pas, on peut sortir ensemble. ». Elle a les larmes aux yeux et un sourire au lèvres. Tu achèves. « Je ne peux pas dire que je t'aime, je ne te connais pas vraiment. Mais je ne dis pas que mes sentiments ne peuvent pas évoluer. ». Wahou, que de paroles sages pour une si jeune personne. La vérité, c'est que c'était Jonathan qui te les avait soufflées, assis dans un coin de la salle. Mais bon, ça, personne ne te forçait à le dire. Lily acquiesce et se précipite dans tes bras. Elle est légère comme une plume. Tu entends soudainement des applaudissements et tournes la tête. Tes amis étaient là et en plus d'autres personnes s'étaient rajoutées. Chose étrange, personne parmi eux ne semblaient voir le fantôme dans le coin de la pièce. Tu appris plus tard qu'il pouvait dissimuler sa présence quand il le souhaitait. On vient vous féliciter. Une proche amie à Lily vient te voir, t'assurant que si tu lui brises le cœur elle te fera très mal. Tu lui assures que tu ne le feras pas. Vous êtes restés ensemble trois ans. Même en rompant, vous êtes restés amis.
Tu as donc gardé de très bons souvenirs de Beaubâtons, malgré certaines personnes qui te pourrissaient la vie quelquefois. Mais elles n'étaient que des ombres sur un tableau. IV- MalwenTu es arrivé à Malwen, au lieu d'une école française car tes parents déménageaient en Amérique. Enfin, il y avait ça et aussi le fait que tu avais entendu dire que Malwen avait un niveau d'études en créaturologie bien plus élevé que beaucoup d'universités en France ou aux États-Unis. Tu te souviens de la toute première fois où tu avais vu l'Université. Elle était juste énorme. C'était vraiment démesuré par rapport à ce qu'on trouvait en France. Tu avais retrouvé certaines personnes de Beauxbâtons. Visiblement, c'était une Université plutôt connue à travers le monde entier. Enfin, le monde des sorciers. Tu te souviens encore du premier jour où tu avais intégré l'Université. C'était encore les vacances mais déjà de nombreux étudiants étaient arrivés pour emménager. Le premier jour de cours aussi. La visite des environs, les retrouvailles avec certaines personnes et la rencontre avec d'autres, venant de tous les coins du monde. Des asiatiques, des africains, des caucasiens, des hispaniques... Tu étais loin de t'imaginer qu'il y aurait autant de monde! Enfin, pourquoi la magie resterait juste dans ton petit coin? Plusieurs années passèrent. Tu énervas, tu rigolas, tu gueulas, tu frappas, tu cuisinas, tu geekas. En gros, tu vécu, enchaînant cours et loisirs. Tu vis encore d'ailleurs, tu profites de la vie ici, ne cessant de te faire des amis et d'en perdre. Au fil des années, tes choix se peaufinèrent et tu sus, au grand damne de ta mère, que tu voulais, comme ton oncle, élever des créatures et les soigner. Ainsi s'achève l'histoire de ta vie, celle-ci s'allongeant au fil de ta vie. |
| | | Points Concours : 5 Fan Clubs : Un fan club est un groupe, informel ou organisé en association, de fans, autrement dit de personnes partageant une admiration, voire une adulation commune.
Diplôme : Tous en poche Filière : Sorcellerie Âge du perso : 31 ans Fonction : Directeur de Malwen Messages : 330 Gallions : 124 Darian Nowell M. J'SUIS LE DIRECTEUR, ok ? | Sujet: Re: NCS - Insérez le titre badass ici Lun 29 Avr - 19:16 | |
| OKAAAAAAAAAAAY TA FICHE ME CONVIENT PARFAITEMENT BIEN ♥♥♥ Je te valide donc, excellent jeu sur Malwen :D | Nissena |
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